Manuel Valls, le symptôme des problèmes du PS?
On parle beaucoup de la grippe A/H1N1 en ce moment, et si elle a envahi la Grande-Bretagne, je crois qu'il ne faut pas se leurrer, notre territoire ne tardera pas à être durement touché par l'épidémie. A moins que comme pour le nuage de Tchernobyl qui miraculeusement s'était arrêté à nos frontières, le "Channel" ne fasse barrage au virus.
Il est un autre virus qui touche aujourd'hui le Parti Socialiste: celui de l'ambition démesurée et hors de propos.
Si la fièvre constitue le 1er symptôme de la grippe, je crois que Manuel Valls à lui seul constitue le symptôme de cette terrible maladie qui ronge le PS, au risque de le voir un jour quasiment disparaître.
Je ne vais pas m'en plaindre à long terme, dans la mesure où je suis adhérent au MoDem, un parti qui selon moi n'a pas à pencher ni vers la droite ni vers la gauche, mais à proposer une vision nouvelle de notre société, différente de celle que nous a toujours administrée le traditionnel affrontement droite-gauche. Il y a d'ailleurs à ce sujet un billet intéressant sur le blog de C. Ginisty. En revanche à court ou moyen terme, et en particulier dans l'optique de 2012, la réduction pure et simple du PS à l'état de "parti marginal" qui serait complètement dominé par un Cohn-Bendit dont on sait qu'il se contrefout des élections présidentielles serait un rude coup pour la France, et assurerait de facto une réelection automatique de notre actuel occupant de l'Elysée, ce dont personnellement je n'ai nulle envie.
Alors il faut que le PS vive! Il faut que des quadras comme Manuel Valls arrêtent de vouloir tenter leur chance à tout prix à une loterie à laquelle ils n'ont aucune chance de succès. Très franchement, vous imaginez un duel Sarkozy-Valls en 2012? Risible.
Manuel Valls doit se rendre compte qu'il n'est pas (encore) présidentiable, et que même s'il présente bien et tout et tout, il lui faut acquérir encore un peu de carrure pour viser des fonctions qui le dépassent très largement aujourd'hui. N'est pas Obama qui veut...
Alors, S'il vous plait Manuel, si vous pouviez arrêter d'embêter Martine (qui on le sait aussi ne sera jamais présidentiable), ce serait tout simplement bien pour la France. A défaut de guérir le mal en profondeur, au moins on aura déjà éradiqué un de ses symptômes.
Il est un autre virus qui touche aujourd'hui le Parti Socialiste: celui de l'ambition démesurée et hors de propos.
Si la fièvre constitue le 1er symptôme de la grippe, je crois que Manuel Valls à lui seul constitue le symptôme de cette terrible maladie qui ronge le PS, au risque de le voir un jour quasiment disparaître.
Je ne vais pas m'en plaindre à long terme, dans la mesure où je suis adhérent au MoDem, un parti qui selon moi n'a pas à pencher ni vers la droite ni vers la gauche, mais à proposer une vision nouvelle de notre société, différente de celle que nous a toujours administrée le traditionnel affrontement droite-gauche. Il y a d'ailleurs à ce sujet un billet intéressant sur le blog de C. Ginisty. En revanche à court ou moyen terme, et en particulier dans l'optique de 2012, la réduction pure et simple du PS à l'état de "parti marginal" qui serait complètement dominé par un Cohn-Bendit dont on sait qu'il se contrefout des élections présidentielles serait un rude coup pour la France, et assurerait de facto une réelection automatique de notre actuel occupant de l'Elysée, ce dont personnellement je n'ai nulle envie.
Alors il faut que le PS vive! Il faut que des quadras comme Manuel Valls arrêtent de vouloir tenter leur chance à tout prix à une loterie à laquelle ils n'ont aucune chance de succès. Très franchement, vous imaginez un duel Sarkozy-Valls en 2012? Risible.
Manuel Valls doit se rendre compte qu'il n'est pas (encore) présidentiable, et que même s'il présente bien et tout et tout, il lui faut acquérir encore un peu de carrure pour viser des fonctions qui le dépassent très largement aujourd'hui. N'est pas Obama qui veut...
Alors, S'il vous plait Manuel, si vous pouviez arrêter d'embêter Martine (qui on le sait aussi ne sera jamais présidentiable), ce serait tout simplement bien pour la France. A défaut de guérir le mal en profondeur, au moins on aura déjà éradiqué un de ses symptômes.