Etats d'âme
Il est parfois des périodes où tout va mal. Où l'on commet erreur sur erreur, gaffe sur gaffe. Tant qu'on ne nuit qu'à soi-même ce n'est pas bien grave, il suffit d'assumer. Le problème, c'est quand des tiers sont en jeu. Je ne parle pas des tiers qu'on peut croiser parfois furtivement dans le monde des entreprises ou dans celui de la politique. Même si c'est toujours dommage de "blesser" (au sens figuré bien sûr) quelqu'un ou de se sentir blessé, c'est le jeu de la vie, hélas impitoyable dans notre monde actuel. Je veux parler d'autres personnes: celles qu'on connaît vraiment, qu'on apprécie pour ce qu'elles sont, pour ce qu'elles ont pu vu donner où ce que vous avez pu leur apporter. C'est ce qu'on appelle des amis, des gens à qui on n'hésite pas à se confier sur des sujets très personnels voire du domaine de l'intime, et à recevoir de même leurs confidences en retour.
Et parfois, au détour d'une route, du fait d'une incompréhension, d'une action impulsive, il y a un dérapage. C'est rare, mais ça arrive. Alors on essaye de réparer, de coller des rustines un peu partout, mais rien n'y fait. Parfois des choses sont vraiment cassées et elles laissent des traces indélébiles. On a beau essayer de passer le chiffon, de recoudre, la cicatrice reste béante. On a créé de l'entropie, atteint un seuil d'irréversibilité.
Alors on se retrouve soit même dans sa propre solitude, dans sa culpabilité même et on se sent mal, très mal. C'est mon cas aujourd'hui. Et très franchement, ça fait "chier".
J'essaierai d'être plus joyeux dans un prochain billet.
Et parfois, au détour d'une route, du fait d'une incompréhension, d'une action impulsive, il y a un dérapage. C'est rare, mais ça arrive. Alors on essaye de réparer, de coller des rustines un peu partout, mais rien n'y fait. Parfois des choses sont vraiment cassées et elles laissent des traces indélébiles. On a beau essayer de passer le chiffon, de recoudre, la cicatrice reste béante. On a créé de l'entropie, atteint un seuil d'irréversibilité.
Alors on se retrouve soit même dans sa propre solitude, dans sa culpabilité même et on se sent mal, très mal. C'est mon cas aujourd'hui. Et très franchement, ça fait "chier".
J'essaierai d'être plus joyeux dans un prochain billet.